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Affichage des articles du juin, 2017

CONCOURS : Gagne un exemplaire dédicacé de Pulpeuse fiction !

CONCOURS PULPEUSE FICTION Un concours à aller faire sur ma page Facebook, en suivant ce lien : https://www.facebook.com/lesmondesdesophie/?fref=nf

Ca y est je suis célèbre (Depuis le Festival Etonnants Voyageurs de Saint Malo) - 2ème partie

La soirée a été très agréable : crêpes Intras Muros, balade sur les remparts, concerts de pirates... mais le dimanche matin voit un nouveau drame se produire : on dort si bien dans la maison de mes cousins (Merci Marie et François 💖 ), que nous ne parvenons pas à nous réveiller à l'heure prévue. Du coup, j'arrive à nouveau trèèèèès tard au Salon. Ils vont finir par croire que je suis toujours en retard ! (Sourire de ceux qui me connaissent) Ca m'énerve, surtout que le Salon est bondé. Autant hier c'était calme, autant là, c'est l'affluence. Qui sait combien de dizaines (que dis-je ! Peut-être de centaines !) de dédicaces j'ai ratées ! Je m'installe fissa, et ça commence : malgré ma célèbre voisine, je n'arrête pas. Un monsieur à qui j'ai vendu mon livre hier s'arrête à nouveau : - Mon fils a commencé votre roman dans la soirée, on a été obligé de le gronder pour qu'il arrête. Cool ! (pas qu'on l'ait grondé, pauvre ...

Drôle de mot : cacostomie

"La conversation de Charles (Bovary) était plate comme un trottoir de rue" : pour ne pas être ainsi jugé, un peu de vocabulaire inhabituel ne nous fera pas de mal. Pourquoi, donc, ne pas utiliser dans vos romans des mots différents, originaux, inconnus, désuets... Bon, bien sûr, il ne s'agit pas d'en truffer votre histoire, l'excès pouvant virer au ridicule. Mais moi, je les aime, ces mots-là... Voici donc ces drôles de mots, que vous pourrez replacer ici et là, avec parcimonie, toujours discrètement, d'un air détaché, comme une élégance naturelle, dans vos conversations ou les dialogues de votre prochain roman.   Connaissez-vous le sens exact du mot : Cacostomie ? Par exemple : - Mon Dieu ! Comme votre cacostomie m'indispose ! - Plaît-il ? - Euh... Vous puez du bec, très cher... - ..... Vous l'aurez compris, la cacostomie est une mauvaise odeur de la bouche.

Envie de faire une action partumée ?...

Connaissez-vous ma page d'auteur ?  Euh... d'auteure ?  D'autrice ?...  Bref, la page qui dit des choses sur ce que j'écris ?... Oui ? Je vous adore ! Non ? Arrgghh ! Qu'attendez-vous ? (Sérieusement : vous n'avez pas envie que je vous adore ?) Alors, comment faire ? C'est simple : si vous voulez en savoir plus sur mes romans , mes contes , mes ateliers d'écriture , les salons , les dédicaces et tout le toutim , rejoignez-moi ici : https://www.facebook.com/lesmondesdesophie/ Vous ferez ainsi une action parfumée ! (si !) (si vous souhaitez être aux premières loges, cliquez sur "j'aime" puis sur "s'abonner" puis "suivre en premier") (partagez l'info avec vos copains, aussi ! Plus on est de fous...)   Un bisou (je vous en ferai plus quand vous serez sur ma page). (et puis sans blaguer, bientôt, je vous fais un post sur la relation de l'auteur et de ses lecteurs...)

La fille des esclaves de la Place des Mille Douleurs

Vous voulez découvrir comment Saraphina, jeune adolescente haïtienne, vivant à Paris, découvre qu'elle est la fille des esclaves de la Place des Mille Douleurs ? Comment le griot Papa Nsoah conte l'origine des hommes ? Comment Saraphina et Malik fabriquent une poupée vaudou dans l'espoir d'envoûter un brigand ? Pourquoi la Cité Paradis du Xème arrondissement parisien renvoie Saraphina à la Cité Soleil de Port-au-Prince ? Qui sont les cacas-sans-savon ? Comment les enfants d'Haïti font le clean ? Comment le goût des bananes frites permet à Saraphina d'entrer dans la culture de ses origines ? Alors lisez La saveur des bananes frites, et vous en saurez même bien plus encore sur l'aventure incroyable d'une petite fille de 11 ans, entre Paris et Port-au-Prince. Vous trouverez La saveur des bananes frites chez votre libraire, mais aussi là ou là . La saveur des bananes frites - Sophie Noël - Magnard...

Un peu de technique : utiliser des expressions dans son roman ?

Le pluriel de œil n’est pas toujours yeux . Ce peut être aussi : des oeils !   Des œils ? Oui… dans certains cas. Des cas principalement animaliers ! Œil donne au pluriel œils dès qu’il entre dans la composition d’un mot. Les œils les plus connus, ce sont les œils-de-bœuf des maisons (lucarnes rondes, généralement placées en hauteur). Les œils-de-chat , ce sont des pierres fines (en fait, du quartz contenant des filaments d’amiante), tout comme les œils-de-tigre (moins rares) et les œils-de-serpent .  L’œil-de-chat , c’est aussi ce diaphragme externe que l’on trouve sur certains vieux appareils photo. Les œils-de-perdrix , ce sont des cors qui se placent entre les doigts de pied, et ce sont aussi des petits nœuds de bois. L’œil-de-perdrix désigne aussi une sorte de tissu comportant des ouvertures en forme de losange L’œil-de-perdrix, c'est aussi la teinte claire que revêtent les vins de Bourgogne légers. Enfin, les œils-de-pie , ce sont des trous prat...

Ca y est, je suis célèbre ! (Depuis le Festival Etonnants Voyageurs de Saint Malo) - 1ère partie

Samedi 3 et dimanche 4 juin, j'étais invitée sur le Festival du film et du livre Etonnants Voyageurs à Saint-Malo, avec mon roman La saveur des bananes frites. Quel bonheur ! J'adore Saint-Malo ! Tout d'abord, parce que ça m'évoque plein de souvenirs : les remparts, Intra Muros, les grands voiliers, les crêpes au citron, une vertèbre déplacée, une douche cinglante sur une digue un jour de forte tempête... bref, de chouettes moments ! Et puis, le festival est bourré d'auteurs connus : si vous avez lu mes précédentes aventures lors du Printemps du livre de Montaigu ( voir mes posts ici ), vous savez maintenant mon addiction aux célébrités. Je me prépare donc à faire ce voyage avec bonne humeur, décidant d'y emmener homme et enfants. Mais était-ce vraiment une bonne idée ? Ca n'a pas très bien commencé : Partis avec une heure et demi de retard sur notre prévision, j'ai la tête farcie de listes à ne pas oublier, et supervi...

Le Printemps du livre de Montaigu, 5ème partie

Me voilà repartie pour une belle journée de dédicace, sous le chapiteau-chaud. Je dédicace avec décontraction et bonne humeur, même si la grosse chaleur ne me met pas particulièrement en joie (j'ai des origines anglaises, et moi, la chaleur, je DETESTE !). Ca marche très bien, et j'ai beaucoup de jeunes lecteurs-trices qui s'intéressent aux bananes frites. Cela me fait très plaisir pour plusieurs raisons : déjà, c'est un livre que j'ai longuement travaillé, toute seule et avec Marie, mon éditrice; mais c'est aussi une histoire qui me tient à coeur, avec ses thèmes forts, son lien avec mes filles, ses personnages attachants. Extrait du blog Un livre dans ma valise Et puis, en milieu de journée, le libraire nous demande, à Anne Richard et moi, si nous souhaitons nous desserrer un peu. En effet, ils ont un autre stand quelques mètres plus loin, où un auteur parti vient de laisser une grande place vacante. J'accepte d'y aller : Anne est de très bo...