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Articles

SALON : Lirenval, Chevreuse (78)

Samedi 25 mars, je serai en dédicace au salon LIRENVAL de Chevreuse (Yvelines) de 10h à 19h. Je dédicacerai Le mystère de la grotte au diable, L'armée des rats, Le bal des sorcières, Ma petite soeur du séisme, L'enfant du séisme, Pulpeuse fiction et La saveur des bananes frites.  Je propose égaleme nt des jeux d'écriture pour les enfants. Je vous y accueillerai avec plaisir (et des petites gaufrettes)...  

Poésie : Recueil Enfants d'Haïti

Boum Soudain Rien A peine un chuchotis   de relent de vent chaud Quelque part une bête criaille et vomit une toux enrouée  comme un spasme Et puis rien Plus un bruit C'est l'heure du silence où la lumière fuit La nuit tombe comme une paupière lourde C’est l'heure incontrôlable Où le temps grince ses battements Et vient la nuit d'Haïti photographie Marc Burtel Extrait du recueil poésie photo Enfants d'Haïti

Interview à propos de Pulpeuse fiction sur le blog de Cosmo Plus

Une interview très sympa à propos de ma comédie romantique Pulpeuse fiction , sur le blog de Cosmo Plu s , avec un exemplaire de Pulpeuse fiction à gagner ! :-D           Extraits :   [...] "D’où vous est venue l’idée d’écrire « Pulpeuse Fiction » ?  J’aime rire et faire rire. J’aime les comédies, car cela me fait vraiment du bien. Et même si j’aime également lire des romans sérieux, je trouve que la comédie est un genre fondamental pour l’équilibre ! D’habitude, j’écris pour les enfants sur des sujets qui font réfléchir. Mais pour mon premier roman adulte, j’ai eu envie de me faire plaisir avec une histoire amusante, mais aussi de toucher toutes les femmes, celles qui ne sont pas dans la norme ou celles qui se sentent mal dans leur corps (quelle qu’en soit la raison), pour leur dire que leur valeur n’a rien à voir avec un chiffre sur une balance ou une taille de pantalon. Ecrire une comédie est auss...

Naissance d'un roman : créer ses personnages

Naissance d'un roman exemple : Pulpeuse fiction (adulte) Deuxième partie, créer ses personnages (1) (trouver le prénom, le nom. P ersonnage principal ? Personnage s secondaires ? figurants ? Les décrire (ou pas), les faire vivre (ou pas) ...) Regardez autour de vous  Dans mon précédent article sur trouver l'inspiration , je vous disais qu'il était important de piocher dans la vie pour trouver les idées. Il en va de même pour les personnages. Posez-vous cinq minutes et regardez autour de vous.  Imaginez que vous êtes un caricaturiste : dans votre tête, accentuez le trait, comparez, métaphorez, exagérez, poussez à l'extrême... : - Il a une étrange façon de marcher, celui-là : on dirait presque qu'il danse ! (c'est le petit fils de Noureev) - Ouah ! Sa couleur de cheveux ! On dirait... on dirait... (évitez les comparaisons de la blondeur avec le blé - Saint Exupéry l'a fait bien mieux que vous avant vous - ou le roux avec les feuilles d'...

Coup de coeur des libraires FNAC

La saveur des bananes frites, coup de cœur des libraires de la FNAC Je suis très contente ! C'est chouette, non ? ;-) "Saraphina part sur les traces de sa culture d'origine. Née en France, elle retourne vivre à Haïti avec son frère pour retrouver leur père disparu. Ce roman soulève une réalité, celle de l'intégration, du besoin de connaître ses racines. Et tout ça traité avec fraîcheur et bienveillance ! Un très chouette roman ♥"

Naissance d'un roman jeunesse : trouver l'inspiration

Naissance d'un roman jeunesse exemple : La saveur des bananes frites Première partie, l'inspiration (trouver l'idée, les idées, le thème, dessiner son histoire...) Piocher l'idée dans la vie   A l'origine, il y avait les nouvelles ;-) J'ai toujours aimé cette forme, courte, dense, puissante, où les idées, les actions, les personnages et les émotions doivent aller vite et bien (ou vite et mal, selon...). A cette époque, donc, je participais régulièrement à des concours de nouvelles* pour me frotter de plus près à la norme, voir si je maitrisais le genre. Pour cela, il me fallait des idées choc, ou pas, mais des idées tout de même ! Parfois, elles me venaient du thème imposé par les organisateurs de concours. Les autres fois, il me fallait chercher moi-même ce que j'avais envie d'écrire. Tout alors était bon : un fait divers, un film, une expo, un mot dans un livre, une conversation entendue, une image... TOUT ! J'ai affuté mon œil, et ...

Un peu de technique : à quelle sauce employer le mot "sur" ?

Un peu de technique littéraire : à quelle sauce employer le mot sur ? J'habite  à Paris ou j'habite sur Paris ? Après s’être répandu dans la langue populaire ou familière, l’usage de la préposition « sur » où l’on attendrait la préposition « à » est aujourd’hui fréquente dans les médias (travailler sur Paris ; déménager sur Brest). Si, avec un verbe de mouvement, cette construction peut éventuellement se justifier par sa connotation dynamique (ainsi de déménager sur Toulouse qui rappelle marcher sur Rome), elle ne peut en revanche être acceptée avec un verbe qui n’a pas cette connotation (j’habite à Paris et non j’habite sur Paris). Voici d’ailleurs ce qu’écrivait en 2002 M. Maurice Druon, Secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie française : «  “Je vais descendre sur Marseille.” Vous trouvez-vous donc en hélicoptère ? “C’est pour travailler sur la région Provence-Côte d’Azur.” A-t-elle besoin d’être modifiée, redessinée ? Sans doute, puisqu’on e...